reina g. barreo ⊹☾ weapons don't weep
Reina Barreo
Onglet 1
Âge : vingt-neuf ans
Occupation : mercenaire + emploi fictif dans l'atelier de mécanique magique familial, l'utilise pour revendre des pièces au marché noir
Head :
Habitation : la guarida, bogota, colombie
Messages : 5
Date d'inscription : 27/03/2024
Onglet 2
REINA GUADALUPE BARREO
IF YOU DON'T TERRIFY PEOPLE A LITTLE BIT THEN WHAT'S THE POINT
ID CARD
11 novembre 1921, 29 ans.
Nationalité colombienne, origines portoricaines et afro-américaines.
Féminin, elle.
Indifférente ; les hommes l'attirent autant que les femmes. Elle trouve cependant davantage de charme aux secondes.
Réticente, allergique, hermétique et réfractaire aux relations. Elle se laisse parfois séduire par de jolies courbes ou un beau regard, mais rien ne dure jamais bien longtemps : elle prend puis délaisse, spectre même dans cet aspect là de sa vie.
Fidèle soldate de la
La Soberbia Roja.
Le couteau se plante en plein cœur de la cible. Il atteint le point rouge marqué sur le tronc avec un sifflement bref, éclatant l’écorce pour s’y accrocher ; la pointe s’enfonce et brise la première enveloppe du bois, trace une coupure nette et précise.
A quelques pas du tableau, Reina observe son œuvre, le visage fendu par l’ombre d’un sourire - aussi furtif que son lancer impeccable. Le point est pour elle. Encore. Il n’y a aucune surprise quant à l’issue du jeu, encore moins lorsqu’elle joue contre Nina. Mais Reina ne joue pas pour la victoire - elle sait qu’elle l’obtiendra -, elle joue pour son
Le couteau atteint une nouvelle fois sa cible, et le point est pour elle. Encore.
DETAILS & ANECDOTES
Timeline
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Reina, reine des ombres, figure fantomatique qui glisse sans aucun bruit. Main noire des terreurs rouges. Elle naît dans un coin du quartier sorcier de Bogota, d'une mère tisseuse et d'un père qui n'est pas le sien - le véritable géniteur n'étant rien de plus qu'un simple amant de passage. Elle ne connaît de toute manière qu'à peine ses parents : la matriarche décède peu après sa naissance et laisse ses deux filles avec un homme absent, davantage préoccupé par son atelier de mécanique magique que par l'éducation de ses enfants. Reina est ainsi élevée par son aînée, Carmen, qui se retrouve obligée d'endosser ce rôle malgré son jeune âge, jusqu'à y sacrifier sa scolarité. Elle s'assure que Reina mange à sa faim lorsque leur père oublie de rentrer, parfois pendant des jours, et fait son possible pour garder sur pieds les quatre murs de leur logement miteux. De cette période, Reina ne garde que des souvenirs flous et un vieux bout de tissu troué qu'elle serrait contre elle la nuit.
Contrairement à sa sœur, la sorcière rejoint les bancs de Santa Guaraca, l'école de magie colombienne, sitôt l'âge requis atteint. Elle y découvre un nouveau monde et de nouvelles têtes, puis s'intéresse particulièrement aux cours d'incantations et de duel, domaines dans lesquels elle devient vite une adversaire redoutable. Habituée à vivre entre les traces parfois trop marquées de sa sœur, Reina s'émancipe enfin. Elle grandit, se forge un peu plus, se dessine les contours d'une personnalité faussement effacée. Elle apprend à prétendre, car sous ses airs taiseux, elle dissimule un œil aiguisé et un esprit vif, ayant bien compris que la survie se faisait parfois au prix du silence - et d'actions toujours mûrement réfléchies.
Peu après son diplôme, Alfonso Luis Barreo décède et Carmen reprend l'atelier de mécanique magique. L'aînée, enfant chérie des bordures miteuses de Bogota, est approchée par la Soberbia Roja, une organisation criminelle sorcière que toute l'Amérique du sud connaît. Elle fascine Reina, qui depuis toujours est consumée par l'injustice de sa position sociale et de sa pauvreté. Alors sans même hésiter, la sorcière rejoint sa soeur dans l'organisation : elle feint un emploi à l'atelier, qu'elle utilise comme couverture pour dissimuler le marché noir de matériaux illégalement importés des quatre coins de l'Amerique d'abord, puis du globe entier ensuite.
Mais surtout, elle met ses mains et son âme à contribution.
Lorsqu'elle met les pieds dans la région du Darién pour la première fois, là où se concentrent les cerveaux de la Soberbia roja, l'épicentre même de leurs activités, Reina comprend qu'elle est incapable de se contenter de ses maigres besognes. Elle a besoin de plus, et les bras-droits du grand Cordova le voient immédiatement. La jeune femme laisse alors la jungle se refermer sur elle et la marquer au fer rouge, les spectres de la soberbia plus que jamais collés à la peau quand elle accepte de mettre ses talents à profit pour devenir l'une des mercenaires de l'organisation. Il semblerait presque qu'elle soit née pour ça ; avec ses poignards ensorcelés et sa silhouette agile, silencieuse, la tête froide de celle qui ne recule jamais. Elle fait de la nuit son alliée la plus précieuse et des saintes dont elle murmure les noms ses portes bonheurs, malgré la pente raide qu'elle continue de dévaler un peu plus chaque jour.
Membre dévouée, Reina partage principalement son temps entre Bogota et le Darién - quand elle n'est pas en mission à l'autre bout du monde. Elle va là où les ficelles de la Soberbia l'entraîne, son ombre comme un mauvais présage sur son chemin.
Contrairement à sa sœur, la sorcière rejoint les bancs de Santa Guaraca, l'école de magie colombienne, sitôt l'âge requis atteint. Elle y découvre un nouveau monde et de nouvelles têtes, puis s'intéresse particulièrement aux cours d'incantations et de duel, domaines dans lesquels elle devient vite une adversaire redoutable. Habituée à vivre entre les traces parfois trop marquées de sa sœur, Reina s'émancipe enfin. Elle grandit, se forge un peu plus, se dessine les contours d'une personnalité faussement effacée. Elle apprend à prétendre, car sous ses airs taiseux, elle dissimule un œil aiguisé et un esprit vif, ayant bien compris que la survie se faisait parfois au prix du silence - et d'actions toujours mûrement réfléchies.
Peu après son diplôme, Alfonso Luis Barreo décède et Carmen reprend l'atelier de mécanique magique. L'aînée, enfant chérie des bordures miteuses de Bogota, est approchée par la Soberbia Roja, une organisation criminelle sorcière que toute l'Amérique du sud connaît. Elle fascine Reina, qui depuis toujours est consumée par l'injustice de sa position sociale et de sa pauvreté. Alors sans même hésiter, la sorcière rejoint sa soeur dans l'organisation : elle feint un emploi à l'atelier, qu'elle utilise comme couverture pour dissimuler le marché noir de matériaux illégalement importés des quatre coins de l'Amerique d'abord, puis du globe entier ensuite.
Mais surtout, elle met ses mains et son âme à contribution.
Lorsqu'elle met les pieds dans la région du Darién pour la première fois, là où se concentrent les cerveaux de la Soberbia roja, l'épicentre même de leurs activités, Reina comprend qu'elle est incapable de se contenter de ses maigres besognes. Elle a besoin de plus, et les bras-droits du grand Cordova le voient immédiatement. La jeune femme laisse alors la jungle se refermer sur elle et la marquer au fer rouge, les spectres de la soberbia plus que jamais collés à la peau quand elle accepte de mettre ses talents à profit pour devenir l'une des mercenaires de l'organisation. Il semblerait presque qu'elle soit née pour ça ; avec ses poignards ensorcelés et sa silhouette agile, silencieuse, la tête froide de celle qui ne recule jamais. Elle fait de la nuit son alliée la plus précieuse et des saintes dont elle murmure les noms ses portes bonheurs, malgré la pente raide qu'elle continue de dévaler un peu plus chaque jour.
Membre dévouée, Reina partage principalement son temps entre Bogota et le Darién - quand elle n'est pas en mission à l'autre bout du monde. Elle va là où les ficelles de la Soberbia l'entraîne, son ombre comme un mauvais présage sur son chemin.
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