letha bulstrode ୨୧ ๋࣭ ⭑ i've got the rich kids blues
2 participants
Letha Bulstrode
Onglet 1
Âge : 25 ans
Occupation : Pigiste et écrivaine
Head :
Habitation : 15 place d'Aphrodite, Chelsea, Londres
Messages : 9
Date d'inscription : 26/03/2024
Onglet 2
LETHA BULSTRODE
i'm syruppy sweet, will rot your teeth down to their core
ID CARD
Letha Hecate Bulstrode.
2 décembre 1924,
Elle est de nationalité
Femme, « elle ».
Attirée par les
Pigiste,
L'
De prime abord, il est facile de ne voir en Letha rien d'autre qu'une insupportable
Bien trop souvent confrontée à l'hypocrisie, vraisemblablement indissociable de son milieu, Letha en a fabriqué une arme. Elle se cache derrière ses
Elle simule pour mieux survivre au milieu des requins, pour ne pas se laisser dévorer ; feigne l’insensibilité alors qu’elle a tout d’une
C'est une
DETAILS & ANECDOTES
Timeline
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Letha voit le jour au Manoir Bulstrode de Halifax, à l’aube des jours froids. Elle passe les premiers jours de sa vie dans une pièce isolée de la bâtisse, loin de sa mère qui ne supporte pas sa présence, surveillée d’un œil lointain par les elfes de maison de la famille et par son père, Theseus, comme on le ferait pour une marmite laissée à feu doux sur le poêle. Cette distance instaurée par le reste de la maisonnée s’ancrera en elle dès le plus jeune âge : elle n’est pas encore en âge de le comprendre, mais le sentiment de vide qui la ronge n’est autre que le fruit d'une infinie solitude. Il n’y a que son frère Leander pour briser son isolement, parfois, lorsque Vesta n’est pas dans les parages - par paranoïa, sans doute, elle n’aime pas voir ses enfants se rapprocher, y voit une sorte de conspiration qui pourrait à tout moment lui éclater au visage.
Puisqu’elle n’est pas autorisée à vagabonder dehors, et que les rares occasions où elle croise d’autres enfants de la haute société sorcière, lors d’abrutissants dîners mondains, ne lui permettent pas d’en faire des camarades de jeu, Letha apprend à créer ses propres divertissements. La bibliothèque du manoir est son terrain de jeu préféré : des rayonnages interminables et un nombre incalculable de cachettes. Dans les recoins sombres, elle écrit ; elle écrit sur tout, sur elle, sur cette mère qui ne l’aime pas, ce père qui semble intimidé par sa présence, sur ce manoir aux allures de prison, et la vie qui semble grouiller au-delà de sa fenêtre. Elle invente des histoires, aussi, des contes sur des princesses et des marâtres, sur la quête d’un bonheur utopique et sur le grand amour. Elle ne fait lire ses écrits à personne, pas même à son frère. Ils sont sacralisés, réservés à des entités célestes, comme une offrande - un appel à vivre des jours meilleurs en grandissant.
Mais plus Letha prend de l’âge et plus son amertume croît. Elle continue d’écrire, mais ses récits se font plus sombres, plus acérées. Plus la vie déploie ses branches devant elle, débordante de possibilités, plus l’espoir infantile qu’elle avait en l’avenir s’amenuise au profit d’une cuisante désillusion. Sa vie familiale est une chappe de plomb sur ses épaules, une atmosphère privée d'oxygène qui l'étouffe un peu plus chaque jour.
Si son départ pour Poudlard est de prime abord une libération, l’histoire finit par se répéter, car même à distance, sa mère garde sur elle une forte emprise et Letha est incapable de s’en dégager ; Vesta contrôle ses fréquentations, le contraint à se rapprocher de la fille d’untel ou d’une telle pour assouvir ses propres ambitions personnelles et faire fructifier sa fondation. Comme une marionnette, Letha se laisse faire ; elle n’a de toute façon plus foi en beaucoup de choses, les rares liens qu’elle a réussi à tisser au fil du temps lui paraissant bien superficiels. Il n’y a qu’à voir la facilité avec laquelle son amie la plus proche, Abelia Vanity, brise sa confiance en se rapprochant de celui qui est alors son petit-ami, Hugh Pucey. Ce n’est pas la trahison de Hugh qui l’atteint comme une gifle, mais celle d’Abelia. Elle n’a jamais vraiment eu de sentiments à l’égard du jeune homme, et n'a plus de véritables attentes en matière d’amour, trop marquée par le carnage du mariage de ses parents. Mais l’amitié avait jusqu’alors une nature d’exception, encore vierge de déconvenues. Il n’est désormais à ses yeux plus qu’un concept artificieux, simulé, un énième plateau de jeu d’échecs où les pions se renversent impitoyablement.
À la fin de sa scolarité, Letha refuse de retourner à Halifax. C’est dans un appartement de la place Aphrodite qu’elle s’installe, jouissant pour la première fois de son indépendance ; ou de celle que ses parents, a fortiori sa mère, acceptent de lui laisser, puisqu’elle n’est pas libérée de ses obligations. On la fiance contre son gré à Ned Hurchelwood, un sorcier américain qu'elle méprise, et pour une raison qui lui échappe, elle est incapable de se rebeller contre la décision unilatérale de Vesta. Aux yeux du monde, Letha est peut-être une furie incontrôlable, mais face à sa génitrice elle n'est plus rien qu'une poupée de chiffon.
En parallèle à ses obligations pour la fondation de sa mère, où elle fait office de larbin lorsque le secrétaire de sa mère est absent, Letha s'adonne à ses activités d'écriture, qui sont au cœur de son existence. Lorsqu'elle ne furette pas dans les affaires sordides du monde sorcier pour vendre ses articles au plus offrant, elle prend la plume pour écrire ses romans.
À force de fouiner là où il ne faut pas dans le but de déterrer les meilleurs scoops, Letha met les pieds dans une machination qui la dépasse. Elle se retrouve empêtrée dans les affaires de l'Aube Noire, sous la coupe de Kaleb O'Geery qui désire utiliser le patronyme et le statut social de Letha pour les intérêts de l'organisation ; elle effectue pour lui des filatures, espionnant les ennemis et alliés de l'Aube. Letha n'est pas des plus discrètes, mais son culot et sa langue acérée sont des atouts cruciaux dans ses missions et parviennent souvent à l'amener là où elle le désire.
Puisqu’elle n’est pas autorisée à vagabonder dehors, et que les rares occasions où elle croise d’autres enfants de la haute société sorcière, lors d’abrutissants dîners mondains, ne lui permettent pas d’en faire des camarades de jeu, Letha apprend à créer ses propres divertissements. La bibliothèque du manoir est son terrain de jeu préféré : des rayonnages interminables et un nombre incalculable de cachettes. Dans les recoins sombres, elle écrit ; elle écrit sur tout, sur elle, sur cette mère qui ne l’aime pas, ce père qui semble intimidé par sa présence, sur ce manoir aux allures de prison, et la vie qui semble grouiller au-delà de sa fenêtre. Elle invente des histoires, aussi, des contes sur des princesses et des marâtres, sur la quête d’un bonheur utopique et sur le grand amour. Elle ne fait lire ses écrits à personne, pas même à son frère. Ils sont sacralisés, réservés à des entités célestes, comme une offrande - un appel à vivre des jours meilleurs en grandissant.
Mais plus Letha prend de l’âge et plus son amertume croît. Elle continue d’écrire, mais ses récits se font plus sombres, plus acérées. Plus la vie déploie ses branches devant elle, débordante de possibilités, plus l’espoir infantile qu’elle avait en l’avenir s’amenuise au profit d’une cuisante désillusion. Sa vie familiale est une chappe de plomb sur ses épaules, une atmosphère privée d'oxygène qui l'étouffe un peu plus chaque jour.
Si son départ pour Poudlard est de prime abord une libération, l’histoire finit par se répéter, car même à distance, sa mère garde sur elle une forte emprise et Letha est incapable de s’en dégager ; Vesta contrôle ses fréquentations, le contraint à se rapprocher de la fille d’untel ou d’une telle pour assouvir ses propres ambitions personnelles et faire fructifier sa fondation. Comme une marionnette, Letha se laisse faire ; elle n’a de toute façon plus foi en beaucoup de choses, les rares liens qu’elle a réussi à tisser au fil du temps lui paraissant bien superficiels. Il n’y a qu’à voir la facilité avec laquelle son amie la plus proche, Abelia Vanity, brise sa confiance en se rapprochant de celui qui est alors son petit-ami, Hugh Pucey. Ce n’est pas la trahison de Hugh qui l’atteint comme une gifle, mais celle d’Abelia. Elle n’a jamais vraiment eu de sentiments à l’égard du jeune homme, et n'a plus de véritables attentes en matière d’amour, trop marquée par le carnage du mariage de ses parents. Mais l’amitié avait jusqu’alors une nature d’exception, encore vierge de déconvenues. Il n’est désormais à ses yeux plus qu’un concept artificieux, simulé, un énième plateau de jeu d’échecs où les pions se renversent impitoyablement.
À la fin de sa scolarité, Letha refuse de retourner à Halifax. C’est dans un appartement de la place Aphrodite qu’elle s’installe, jouissant pour la première fois de son indépendance ; ou de celle que ses parents, a fortiori sa mère, acceptent de lui laisser, puisqu’elle n’est pas libérée de ses obligations. On la fiance contre son gré à Ned Hurchelwood, un sorcier américain qu'elle méprise, et pour une raison qui lui échappe, elle est incapable de se rebeller contre la décision unilatérale de Vesta. Aux yeux du monde, Letha est peut-être une furie incontrôlable, mais face à sa génitrice elle n'est plus rien qu'une poupée de chiffon.
En parallèle à ses obligations pour la fondation de sa mère, où elle fait office de larbin lorsque le secrétaire de sa mère est absent, Letha s'adonne à ses activités d'écriture, qui sont au cœur de son existence. Lorsqu'elle ne furette pas dans les affaires sordides du monde sorcier pour vendre ses articles au plus offrant, elle prend la plume pour écrire ses romans.
À force de fouiner là où il ne faut pas dans le but de déterrer les meilleurs scoops, Letha met les pieds dans une machination qui la dépasse. Elle se retrouve empêtrée dans les affaires de l'Aube Noire, sous la coupe de Kaleb O'Geery qui désire utiliser le patronyme et le statut social de Letha pour les intérêts de l'organisation ; elle effectue pour lui des filatures, espionnant les ennemis et alliés de l'Aube. Letha n'est pas des plus discrètes, mais son culot et sa langue acérée sont des atouts cruciaux dans ses missions et parviennent souvent à l'amener là où elle le désire.
SOCIAL CIRCUS
Guilhem Verrier
Onglet 1
Âge : vingt-sept ans.
Occupation : poursuiveur tête-brûlée de l'équipe des Vivets de Naples ; la célébrité à laquelle il regoûte avec une forme d'ivresse, après avoir pensé celle-ci définitivement éloignée.
Head :
Habitation : rues ensoleillées d'un Naples où il apprend à se reconstruire depuis plusieurs mois, loin du Paris mortifère dont il avait fait son propre enfer.
Messages : 14
Date d'inscription : 26/03/2024
Onglet 2
Letha Bulstrode
Onglet 1
Âge : 25 ans
Occupation : Pigiste et écrivaine
Head :
Habitation : 15 place d'Aphrodite, Chelsea, Londres
Messages : 9
Date d'inscription : 26/03/2024
Onglet 2
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